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Je n’aime pas les vacances, les week-ends et les jours fériés, c’est grave?

  • Photo du rédacteur: Jean Noël Bruère
    Jean Noël Bruère
  • 29 juin
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 5 juil.

Dans cette société où les congés sont souvent synonymes de détente et d’évasion, ne pas apprécier les vacances, les week-ends ou les jours fériés peut sembler étrange, voire suspect.


Y aurait-il là le symptôme, la partie émergée d’une maladie iceberg dont on ignorerait le nom ?


Si c'est votre cas, rassurez vous en apprenant que cette préférence n’a rien de pathologique et qu’elle est même plus courante qu’on ne le pense.


Pas de panique donc : cela ne signifie pas nécessairement un problème.


Explorons ensemble les raisons possibles, des exemples concrets et comment un coach professionnel peut vous aider à mieux comprendre ce qui se passe chez vous dans ce genre de situation et à appréhender vos besoins.


Pourquoi certaines personnes n’aiment pas les temps de pause ?


1. Un rythme de vie différent


Certains individus trouvent leur équilibre dans la routine et la production « productive », dans la performance.


Les périodes d’inactivité peuvent ainsi générer un sentiment d’inconfort ou d’ennui.


Exemples de Marc et de Sarah:


  • Marc, cadre dans une entreprise de la tech, se sent perdu sans ses tâches habituelles. Pendant les vacances, il s’ennuie et ressent une déprimante baisse de motivation.


  • Sarah, entrepreneure, préfère travailler le week-end car elle trouve plus de satisfaction dans ses projets que dans des activités de détente classiques.


Si votre énergie vient du travail ou des projets personnels, les pauses forcées peuvent perturber votre dynamique.


Votre coach professionnel peut là vous aider à structurer vos moments libres pour qu’ils restent stimulants.


2. Le stress du vide


Contrairement à ceux qui voient les vacances comme une libération, vous pouvez ressentir une anxiété face au manque de structure.


Exemples de Thomas et de Laura :


  • Thomas, manager à Lyon, stresse à l’idée des longues journées sans agenda.

Il craint de perdre son temps et de ne pas en profiter "correctement".


  • Laura, consultante, se sent coupable de ne rien faire de productif quand elle ne travaille pas, même pendant les jours fériés.


Vous, comme Laura et Thomas, un coach en développement personnel peut vous à gérer cette appréhension en vous proposant des outils pour apprivoiser l’inactivité.


3. Des expériences passées négatives


Si les précédents moments de repos ont été associés à des conflits, de la solitude ou de l’insatisfaction, il est parfaitement normal de les redouter.


Exemples concrets :


  • Julien associe les vacances aux disputes familiales. Il préfère éviter les réunions de famille prolongées.


  • Emma a vécu un voyage long, cher et finalement complètement raté, et elle préfère désormais rester active plutôt que de risquer une nouvelle déception du même acabit.


Dans ce cas, identifier ces blocages, pourquoi pas avec l’aide d’un coach, est essentiel pour retrouver un rapport sain avec les pauses.


Comment vivre mieux ces périodes malgré tout ?


1. Recadrez votre vision des congés


Plutôt que de subir passivement les jours « off », transformez-les en opportunités.


Exemples d’alternatives :


  • Projets personnels : Utilisez ce temps pour écrire un livre, monter un site web, peindre ou faire de la musique…

    .

  • Apprentissage : Suivez une formation en ligne ou apprenez une nouvelle langue.


  • Socialisation choisie : Organisez des rencontres professionnelles informelles ou des ateliers créatifs plutôt que des obligations sociales classiques et barbantes.


2. Structurez votre temps libre


Une planification minimale peut vous éviter ce redoutable sentiment de vide.


Un exemple de routine équilibrée :


  • Matin : Lecture ou sport


  • Après-midi : Travail sur un projet passionnant (professionnel ou non)


  • Soir : Dîner avec des amis proches


Un bon coach peut vous aider à créer LE planning ajusté à vos besoins.


3. Acceptez vos préférences sans vous culpabiliser


Il n’existe pas de modèle unique pour se reposer.


Comment Pierre et Sophie assument leurs choix :


  • Pierre, consultant en libéral, travaille volontairement les jours fériés et prend systématiquement ses vacances hors saison.


  • Sophie, graphiste, libérale elle aussi, préfère travailler le dimanche et se repose en milieu de semaine quand tout est plus calme.


L’important est d’écouter vos besoins réels sans vous comparer aux autres. Comparaison n’est pas raison…


FAQ : questions fréquentes sur le rapport aux vacances


Est-ce normal de ne pas aimer les vacances ?


Absolument. Chacun a un fonctionnement personnel, parfois radicalement différent de la moyenne.


Tant que cela ne provoque pas de souffrance, il s’agit simplement d’une particularité à assumer avec tranquillité.


Dois-je consulter un professionnel ?


Si cette aversion impacte votre bien-être ou vos relations, en parler à un coach professionnel ou un thérapeute peut vous être très bénéfique.


Comment expliquer cela à mon entourage ?


Communiquez simplement vos besoins. Par exemple :


  • "Je me sens mieux quand je reste actif, mais on peut se retrouver pour un déjeuner rapide."


  • "Je préfère travailler ce week-end, mais je suis libre mercredi soir si tu veux qu’on se voie."


Conclusion : trouvez votre équilibre


Ne pas aimer les vacances n’est ni grave ni anormal.


L’essentiel est de respecter son rythme et de trouver des alternatives qui vous ressemblent.


La prochaine étape :


  • Si vous souhaitez explorer ce sujet en profondeur, un accompagnement avec un coach certifié peut vous aider.


  • Pour des conseils sur la gestion du stress ou l’optimisation de votre temps, découvrez nos ressources sur coach-reunion.com.


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Auteur : Jean Noël BRUERE

COACH REUNION CONSULTING 2025

 
 
 

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